A Canadian First: Satellite Subscribers to See Community Channels on Bell
(français en bas)
Ottawa (March 5, 2013) For the first time in Canadian history, community-owned and –operated TV channels are available on satellite. Bell has added seven of the channels to its basic satellite line-up. As a result, Canadians in rural communities in BC, Manitoba, the Northwest Territories, Nova Scotia, Ontario and New Brunswick can now see community channels in their area.
Ed Christie of Harvey, York County, NB is delighted: “We used to operate a community channel out of our high school that was distributed on cable. Since we lost cable distribution in 2009, there’s been no community TV channel providing regular coverage to this area, except in St. Andrews, 100 kilometres away. But we were beyond the reach of its broadcast signal and couldn’t get it on cable. I can see it now on Bell.”
Patrick Watt, the manager of the St. Andrews community channel (one of the seven that can now be seen on Bell) agrees: “The majority of the cable community stations that once existed in New Brunswick have been shut down. Community-owned licences are the solution, but we needed a distribution partner that could reach more viewers. Bell has stepped up.”
“Canadians want local content and community channels across the country are providing just that,” said Mirko Bibic, Bell's Chief Legal and Regulatory Officer. “As Canada’s leader in the production of Canadian content and promotion of Canadian talent, Bell is proud to be giving more Canadians access to content that is truly ‘home-grown’.”
Back in the 1980s and 1990s, when roughly 80% of Canadian households subscribed to cable, the community channels operated by cable companies functioned almost like a virtual townhall. Local MPs could host a “Dial Your MP” show and know that it was reaching most of their community. Local talent, hobbies, culture and current events were showcased. Since satellite was introduced in the late 1990s, Canadians have been able to watch TV on a multitude of platforms: over the air, cable, satellite, the Internet, and now mobile platforms, and cable penetration has fallen to about 60%.
“It’s difficult for a community to build a consistent sense of itself if everyone is watching different media,” said Catherine Edwards of the Canadian Association of Community Television Users and Stations. “So we’ve been encouraging communities to apply to the CRTC for their own TV licences. The basic licence is for free-to-air TV that you can pick up with an antenna, and the CRTC ensures that they’re available on basic cable. Satellite was the missing piece of the puzzle for them to share what’s going on regardless of the platform individual residents choose for TV service. Satellite has the advantage that it’s available everywhere in Canada, whereas the range of both broadcast TV and cable is limited.”
The following community–operated TV channels are now available on Bell Satellite TV:
CHET-TV Chetwynd, British Columbia/Channel 655
VCTV (CHVC-TV) Valemount, British Columbia/Channel 653
NACTV Neepawa, Manitoba/Channel 592
CFTV Leamington, Ontario/Channel 586
CHCO-TV St. Andrews, New Brunswick/Channel 539
Telile TV (CIMC-TV), Arichat, Nova Scotia/Channel 536
Hay River TV (CIHC-TV) Hay River, Northwest Territories/Channel 649
Contact: Catherine Edwards (819) 772-2862
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COMMUNIQUÉ
CACTUS :
Une première au Canada : des abonnés des services par satellite peuvent regarder des canaux communautaires grâce à Bell
Ottawa, le 5 mars 2013 – Pour la première fois dans l’histoire du Canada, un système de télévision par satellite diffuse des canaux de télévision appartenant aux collectivités et exploités par celles-ci. En effet, Bell a ajouté sept de ces canaux à sa programmation de base. Ainsi, les Canadiens qui vivent dans des collectivités rurales dans les Territoires du Nord-Ouest, en Colombie-Britannique, au Manitoba, en Ontario, en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick peuvent désormais regarder des canaux communautaires dans leur région.
Ed Christie, résident de Harvey, comté de York au Nouveau-Brunswick, en est ravi : « Nous exploitions par le passé un canal communautaire depuis notre école secondaire, canal qui était diffusé grâce à un système de distribution par câble. En 2009, nous avons perdu cette distribution par câble et, depuis, il n’y a plus de canal de télévision communautaire couvrant régulièrement notre région, excepté à St. Andrews, à 100 km d’ici. Malheureusement, nous nous trouvons hors de portée de son signal de radiodiffusion et sa programmation n’est pas offerte sur le câble. Grâce à Bell, je peux maintenant la regarder. »
Patrick Watt, directeur du canal communautaire de St. Andrews (l’un des sept que diffuse désormais Bell) abonde dans le même sens : « La plupart des stations communautaires par câble qui existaient par le passé au Nouveau-Brunswick ont disparu. Les licences appartenant aux collectivités sont la solution, mais il nous fallait un partenaire de distribution pour offrir une plus large diffusion. Bell a comblé cette lacune. »
« Les Canadiens demandent du contenu local et, d’un bout à l’autre du pays, des canaux communautaires offrent ce contenu, affirme Mirko Bibic, chef des affaires juridiques et réglementaires à Bell. En tant que chef de file au Canada en matière de production de contenu canadien et de promotion du talent canadien, Bell est fière d’offrir aux Canadiens un accès accru à du contenu vraiment d’ici. »
Dans les années 1980 et 1990, époque où environ 80 % des foyers canadiens étaient abonnés au câble, les canaux communautaires exploités par les câblodistributeurs servaient presque de lieu de rencontre virtuelle. Les députés fédéraux locaux pouvaient animer une émission de « tribune téléphonique » en sachant que la majeure partie de leur circonscription y avait accès. Le talent local, les passe-temps, la culture et les actualités – tout y était mis en vedette. Depuis l’avènement des services par satellite à la fin des années 1990, les Canadiens peuvent regarder la télévision sur une multitude de plateformes : à l’antenne locale, par satellite, par Internet et maintenant au moyen de plateformes mobiles, et le taux de pénétration du câble a chuté à environ 60 %.
« Il est difficile pour une collectivité de susciter un sentiment uniforme d’elle-même lorsque les gens regardent des médias différents, a déclaré Catherine Edwards, de l’Association canadienne des usagers et stations de la télévision communautaire (CACTUS). C’est pourquoi nous encourageons les collectivités à déposer une demande auprès du CRTC pour obtenir leur propre licence de télévision. La licence de base couvre la radiodiffusion en clair de la télévision qui peut être captée par une antenne, et le CRTC fait en sorte que ces canaux soient également offerts sur le service de câble de base. La diffusion par satellite était la pièce manquante au casse-tête pour que ces canaux partagent ce qui se passe dans leurs collectivités, quelle que soit la plateforme que chaque résident choisit pour son service de télévision. La diffusion par satellite a l’avantage d’être disponible n’importe où au pays, alors que la portée de la télédiffusion en clair et de celle par câble est limitée. »
Bell Télé Satellite diffuse désormais les canaux appartenant à des collectivités suivants :
CHET-TV/canal 655, Chetwynd (Colombie-Britannique)
VCTV (CHVC-TV)/canal 653, Valemount (Colombie-Britannique)
NACTV/canal 592, Neepawa (Manitoba)
CFTV/canal 586, Leamington (Ontario)
CHCO-TV/canal 539, St. Andrews (Nouveau-Brunswick)
Telile TV (CIMC-TV)/canal 536, Arichat (Nouvelle-Écosse)
Hay River TV (CIHC-TV)/canal 649, Hay River (Territoires du Nord-Ouest)]
Renseignements : Catherine Edwards, 819 772-2862
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